Le Teich, réserve naturelle

Le Teich, situé sur le bord du bassin d’Arcachon, abrite de nombreux oiseaux. En juin, même si la diversité est plus faible, les observations restent variées :
Aigrette garzette, Héron, Chevalier gambette, Echasse blanche, Cormoran, Ibis falcinelle, Cygne tuberculé, Mouette rieuse, Poule d’eau, Foulque, Canard pilet, Sarcelle d’hiver, Gorge-bleue à miroir, Rousserolle effarvatte, Hypolaïs polyglotte.
L’entrée de la réserve est plus matinale en fin de semaine avec une ouverture à 7H. Quel bonheur de pouvoir ressortir après ces périodes de confinement !
Nous sommes partis à 9 photographes du Marcy Photo Club pour profiter d’une certaine proximité avec la faune.

Le banc d’Arguin nous a également tenté avec ses étendues de sable en face de la dune du Pilat. Peu de diversité avec surtout des Huitriers pie qui tournaient au dessus de nous pour nous détourner de leur nid. Nous sommes pourtant bien restés en dehors de la zone protégée de la réserve.

Biennale d’Art Contemporain 2019

Cette année le thème portait sur  » Là où les eaux se mêlent ». Ce n’est pas très évident de retrouver ce fil conducteur dans les différentes oeuvres. L’exposition s’est déroulée en automne 2019 sur 3 sites de l’aglomération lyonnaise.
Je dois avouer que j’ai un peu de mal avec l’art contemporain, mais c’est intéressant de voir comment le monde évolue vu par le prisme de l’art. J’aime aussi capter l’interaction des  visiteurs avec les oeuvres exposées.
Il est dommage que le lieu  la Sucrière ait été abandonné car il convenait bien pour ce genre d’exposition.

Musée d’art contemporain (MAC LYON)
Peu d’artistes mais des expositions  de grande ampleur.

Usine Fagor-Brandt
Cette ancienne usine d’électroménager se présente sous forme de grands halls  vides assez tristes mais adaptés à des oeuvres traduisant souvent beaucoup de pessimisme dans ce monde.

Institut d’ Art Contemporain Villeurbanne
C’est un écrin plus intimiste pour des oeuvres variées, colorées.

Trek du Kangchenyunga au Sikkim

 

Le Sikkim, petit état de l’Inde situé dans l’Himalya, est entouré par le Népal, le Thibet (Chine) et le Bhoutan. Le Sikkim, encore peu parcouru par les trekkers, comprend le Kangchenjunga  troisième sommet du monde. Le trek emprunte des chemins étroits parfois escarpés, jalonnés de magnifiques lacs d’altitude et franchissant plusieurs cols. Il permet d’apprécier de beaux panoramas sur les montagnes  du massif du Kangchenjunga et sur les montagnes népalaises. Il a duré 12 jours avec toutes les nuits sous tente, la plupart du temps à 4000 m d’altitude. Le trajet aller près  de la frontière népalaise est sauvage, il rejoint ensuite l’ itinéraire classique de Dzongri, à l’ouest du Sikkim, à partir duquel on accède au pied du Kangchenjunga.

cartes du trek

Lien pour télécharger les gpx
Je recommande d’utiliser Geosetter pour visualiser les traces gpx sur une carte et de positionner les photos contenant les coordonnées GPS.

Le trek démarre à Darap, près de Pelling . Nous passons par les deniers hameaux pour ensuite monter par les les hautes vallées aux plateaux de l’ouest du Sikkim. Nous rejoignons ensuite Dzongri, un carrefour pour se rendre au pied du Kangchenyunga.

Le plateau de Dzongri, situé à 4000 m, offre de magnifiques vues sur le massif du Kangchenjunga. La montée de la vallée nous mène au point de vue le plus haut  (View Point 4600 m) au pied du Kangchenyounga.

Nous redescendons rapidement vers Yuksom en passant par Tsokha où se trouve un temple bouddhique.

Un grand merci à Tenzin, notre guide principal, pour sa disponibilité, sa gentillesse et sa grande connaissance du pays. Ce trek était organisé par le CAF de Rouen et basé sur un circuit de l’agence Allibert

Visite du Sikkim

Le trek du Kangchenyunga fut aussi l’occasion de parcourir l’état du Sikkim et une partie du Bengale occidental en voiture.

Nous commençons par Darjeeling, connu mondialement pour son thé.
Darjeeling abrite aussi le terminus d’une ancienne ligne de chemin de fer parcourue encore par des petites locomotives à vapeur dont certaines sont centenaires.

Partout nous trouvons des monastères bouddhiques, cette région de l’Himalaya est très influencée par le Thibet et le Népal.
Nous nous rendons ensuite à Pelling, berceau du Sikkim avec les monastères bouddhiques de Permayangtse et de Sanga Choeling.

Puis nous entamons le trek vers le Kanchenyunga en passant par des hameaux dont le plus haut, Dzongri à 4000 m, n’est occupé qu’en dehors de l’hiver.
C’est aussi l’occasion de rencontrer des villageois dont la vie peut être rude en montagne.

Nous rejoignons Gantok, la capitale du Sikkim. C’est une ville moyenne  de 100 000 habitants bâtie à flanc de coteau. Puis nous sortons du Sikkim pour aller à Kalimpong.

 

Marché de Noël de Colmar

Ce marché, ouvert presque  tout le mois de décembre, reste à taille humaine. La ville est magnifique avec ses illuminations et ses vieilles maisons et ruelles. Différents marchés sont disséminés sur les places du centre de Colmar. Une chorale d’enfants chantant sur des barques ajoutait du plaisir au charme de cette soirée.