L’Equateur – le pays

Un trek dans les Andes, la visite de quelques villes et un tour dans les Galapagos étaient le but d’un séjour en Equateur organisé par Allibert en octobre/novembre 2022.
Les villes principales se trouvent sur les hauts plateaux entre 2500 et 3000 m d’altitude, encadrés par des volcans  de chaque côté, du nord au sud. De nombreux volcans sont actifs par moment et culminent entre 5000 et 6200 m.

Commençons par Quito qui est la capitale et aussi une belle ville de l’époque coloniale. Les traces des civilisations préhispaniques ont été effacées. Les Incas ont occupé cette région moins d’un siècle avant l’arrivée des Espagnols.

La ville ancienne, bien conservée,  est d’architecture baroque.

On trouve beaucoup d’églises baroques richement décorées, notamment celle des Jésuites dont l’intérieur est couvert de feuilles d’or. La grande basilique du Voeu National, de style néogothique, date d’environ un siècle.

Puis nous allons vers le nord en traversant la ligne de l’équateur pour aller à Otovalo et sa région, c’est une ville très colorée à majorité amérindienne.

Au sud de Quito, la ville de Banos se trouve sous la menace du volcan Tungurahua, avec une activité pouvant être violente  et imprévisible. Un tableau dans la basilique de Banos décrit une forte éruption survenue en 1797.
Plus à l’ouest, en se dirigeant vers la lagune Quilotoa, on passe par des champs cultivés à 3900 m.

La deuxième partie du voyage nous amenait aux îles Galapagos situées à plus de 1000 km à l’ouest de l’Equateur. Nous nous sommes arrêtés à Santa Cruz et San Cristobal.

Les paysages sont beaux sur Santa Cruz, mais les déplacements terrestres restent très limités pour préserver la nature sauvage, faune et flore.
La ville principale, Puerto Ayora, concentre toute l’activité touristique.

Il est amusant de voir des églises d’origine protestante, Témoins de Jéhovah et Adventistes du 7e jour, faire du prosélytisme dans les Galapagos alors qu’elles ont du mal avec la théorie de l’évolution. Pourtant c’est là que Darwin a commencé à élaborer cette théorie.

Sur San Cristobal les déplacements à pied restent aussi limités à  2 km du port,  Puerto Baquerizo Moreno.  Ce sont les otaries qui viennent nous voir. Le tour de l’île en bateau permet de descendre sur d’autres sites inaccessibles autrement.

Liens :
Trek dans les Andes de l’Equateur
la faune des Galapagos

4 réflexions sur « L’Equateur – le pays »

  1. Très intéressant reportage sur l’Equateur. Les otaries qui se prélassent dans les rues de San Cristobal doivent être sous l’emprise de somnifères ou particulièrement repues

  2. Merci pour ce très beau reportage, varié et d’une grande qualité photographique. La basilique de QUITO semble construite sur une faille spatio-temporelle, car les horloges des deux tours ne donnent pas la même heure. Et, comme le remarque CH, images très surprenantes des otaries dans les rues de San Cristobal!
    Beau dépaysement!

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