Le quai de Saône et la gare Saint Paul transformés en simple écran de cinéma N&B boof…
Peu de renouvellements pour la cathédrale Saint Jean.
Illuminations statiques de la fontaine de la place des Jacobins.
je n’ai pas eu le courage d’aller au parc de la Tête d’Or, suite aux critiques peu enthousiastes.
Cette édition 2022 poursuit le mouvement entamé l’année dernière avec moins de magie, moins d’animations spectaculaires, moins de sites. L’accent a été mis sur l’écoresponsabilité. Continuer la lecture de Lyon – Fêtes des Lumières 2022→
Cette année le thème portait sur » Là où les eaux se mêlent ». Ce n’est pas très évident de retrouver ce fil conducteur dans les différentes oeuvres. L’exposition s’est déroulée en automne 2019 sur 3 sites de l’aglomération lyonnaise.
Je dois avouer que j’ai un peu de mal avec l’art contemporain, mais c’est intéressant de voir comment le monde évolue vu par le prisme de l’art. J’aime aussi capter l’interaction des visiteurs avec les oeuvres exposées.
Il est dommage que le lieu la Sucrière ait été abandonné car il convenait bien pour ce genre d’exposition.
Musée d’art contemporain (MAC LYON)
Peu d’artistes mais des expositions de grande ampleur.
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Josefa Ntjam
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Renée Levi
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Renée Levi
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Jenny Feal
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Gaëlle Choisne
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Gaëlle Choisne
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Usine Fagor-Brandt
Cette ancienne usine d’électroménager se présente sous forme de grands halls vides assez tristes mais adaptés à des oeuvres traduisant souvent beaucoup de pessimisme dans ce monde.
Cette année, la Fête des Lumières retrouve un format presque normal, même si quelques incidents ont eu lieu sur la Place Bellecour le 8 décembre.
Parmi les sites remarquables citons :
cathédrale Saint Jean, quai de la Saône, Hôtel Dieu – cour du Midi, place Bellecour, parc de la Tête d’Or .
Lyon, à l’époque romaine, était alimentée en eau courante par quatre aqueducs qui assuraient un débit d’eau d’environ 45000 m3 par jour.
Ces aqueducs furent laissés à l’abandon après la chute de l’empire romain. La ville de Lyon ne remit en service un réseau d’eau potable qu’après le milieu du 19e siècle.
Le débit d’eau connu à l’antiquité ne fut dépassé qu’à l’orée du 20e siècle
Le réseau fut alimenté à partir de 1856 par un captage dans le Rhône à travers des bassins filtrants et de pompes à vapeur de type Cornouailles, construites sous licence par Schneider au Creusot. Les premières ont fonctionné pendant 50 années.
Une seule machine nous est parvenue pratiquement intacte dans l’usine des eaux de Saint Clair, à Caluire.
Elle pouvait pomper environ 1000 m3 par heure.
C’est un remarquable élément du patrimoine industriel du 19e siècle.
Nous remercions l’association « L’eau à Lyon et la pompe de Cornouailles » pour l’organisation de la visite.