L’Ecosse, pays de contrastes, se caractérise par la présence de l’eau : la mer, les lochs, les rivières, les nuages. La nature reste bien verte grâce aux précipitations régulières.
La côte ouest se compose de nombreuses îles importantes alors qu’à l’est on trouve surtout des îlots abritant des colonies d’oiseaux.
Côte est
Ile de May
Ile de May
Ile de May – phare Stevenson
Saint Abbs
Saint Abbs
Saint Abbs
Bass Rock
Saint Abbs
Aberlady
Côte Ouest
L’île de Mull a conservé des constructions anciennes, cercle de pierres protohistorique, abbaye et château du moyen-age.
Ile de Mull – Loch Sgurbain
Ile de Mull – Loch Spelve
Ile de Mull – Loch Spelve
Ile de Mull – cascade Ears Fors
Ile de Mull – Loch na Keal
Ile de Mull – Loch na Keal
Ile de Mull – Lochbuie Stone Ring
Ile de Mull – Lochbuie
Ile de Mull – château de Moy
Ile de Mull – borne distance 1892
Ile de Mull – Fionnphort
Ile de Mull – Fionnphort
Ile de Mull – Loch Spelve
Ile de Iona – abbaye de Iona
Ile de Staffa
C’est une ile volcanique dont les falaises sont composées d’orgues basaltiques remarquables. En visitant Staffa, Jules Verne, Turner, Mendelssohn y ont trouvé de l’ inspiration pour certaines de leurs oeuvres.
Le Yellowstone a été le siège d’activités volcaniques cataclysmiques il y a environ un million d’années. Il reste une caldéra immense de l’ordre de 70 km de diamètre. Aujourd’hui des geysers et des sources d’eau chaude, les plus importants du monde, témoignent de la présence d’un super-volcan. En hiver, seule la partie nord est accessible facilement, on peut observer l’activité des sources chaudes à Mammoth Hot Springs.
Un incendie très important a ravagé un tiers du parc en 1988.
Le climat est montagnard, avec une altitude de plus de 2000 m.
Gardiner constitue la porte d’entrée nord, seul accès possible en hiver.
Parmi les les plus belles illuminations de la fête des lumières 2021 que j’ai vues, il faut citer en premier le parc de la Tête d’Or, ensuite Saint Jean avec une scénographie bien renouvelée, puis la place des Terreaux assez classique et la place des Jacobins avec ses lumignons.
Mais la fête des lumières 2021 est moins flamboyante que lors des précédentes représentations, avec moins de lieux illuminés ( la colline de Croix Rousse, le haut de Fourvière, les quais de la Saône, Confluences ..) et des rues tristes comme la rue Herriot, la rue de la République.
Le Teich, situé sur le bord du bassin d’Arcachon, abrite de nombreux oiseaux. En juin, même si la diversité est plus faible, les observations restent variées :
Aigrette garzette, Héron, Chevalier gambette, Echasse blanche, Cormoran, Ibis falcinelle, Cygne tuberculé, Mouette rieuse, Poule d’eau, Foulque, Canard pilet, Sarcelle d’hiver, Gorge-bleue à miroir, Rousserolle effarvatte, Hypolaïs polyglotte.
L’entrée de la réserve est plus matinale en fin de semaine avec une ouverture à 7H. Quel bonheur de pouvoir ressortir après ces périodes de confinement !
Nous sommes partis à 9 photographes du Marcy Photo Club pour profiter d’une certaine proximité avec la faune.
Le Teich – réserve ornithologique
Le Teich – réserve ornithologique
Le Teich – réserve ornithologique
Le Teich – Mouette
Le Teich – Mouette
Le Teich – Mouette
Le Teich – Mouette
Le Teich – Echasse Blanche
Le Teich – Echasse Blanche
Le Teich – Chevallier gambette
Le Teich – Foulque
Le Teich – Aigrette garzette , Ibis falcinelle
Le Teich – Ibis falcinelle
Le Teich – Râle d’eau
Le Teich – Milan
Le Teich – Cygne tuberculé
Le Teich – Cigne tuberculé
Le Teich – Cormoran
Le Teich – Héron cendré
Le Teich – Héron cendré Cigogne
Le Teich – Héron cendré Cigogne
Le Teich – Aigrette garzette
Le Teich – Hypolaïs polyglotte
Le Teich – Gorgebleue à miroir
Le Teich – Gorgebleue à miroir
Le Teich – couleuvre verte et jaune
Le Teich – Lézard vert
Le Teich – Cistude
Le banc d’Arguin nous a également tenté avec ses étendues de sable en face de la dune du Pilat. Peu de diversité avec surtout des Huitriers pie qui tournaient au dessus de nous pour nous détourner de leur nid. Nous sommes pourtant bien restés en dehors de la zone protégée de la réserve.
Cette année le thème portait sur » Là où les eaux se mêlent ». Ce n’est pas très évident de retrouver ce fil conducteur dans les différentes oeuvres. L’exposition s’est déroulée en automne 2019 sur 3 sites de l’aglomération lyonnaise.
Je dois avouer que j’ai un peu de mal avec l’art contemporain, mais c’est intéressant de voir comment le monde évolue vu par le prisme de l’art. J’aime aussi capter l’interaction des visiteurs avec les oeuvres exposées.
Il est dommage que le lieu la Sucrière ait été abandonné car il convenait bien pour ce genre d’exposition.
Musée d’art contemporain (MAC LYON)
Peu d’artistes mais des expositions de grande ampleur.
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Josefa Ntjam
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Renée Levi
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Renée Levi
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Jenny Feal
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Gaëlle Choisne
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Gaëlle Choisne
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Biennale d’Art Contemporain 2019 – Daniel Dewar et Grégory Gicquel
Usine Fagor-Brandt
Cette ancienne usine d’électroménager se présente sous forme de grands halls vides assez tristes mais adaptés à des oeuvres traduisant souvent beaucoup de pessimisme dans ce monde.