Les randonnées nous ont amenés aux abords des plus hauts volcans de l’Equateur comme le Chimborazo ou le Cotopaxi et à l’ascension d’autres volcans plus faciles.
La couverture nuageuse était bien présente, avec cependant des éclaircies appréciées.
Nous avons commencé par le nord, autour d’Otavalo,
Le parc du volcan Cotachi permet de faire le tour de la lagune Cuicocha. Cette caldéra s’est formée il y a 3500 ans environ. La végétation est luxuriante à cette altitude de 3100 m, avec une humidité très élevée.
parc Cotacachi
parc Cotacachi – lac Cuicocha
parc Cotacachi – lac Cuicocha
parc Cotacachi – lac Cuicocha
parc Cotacachi
parc Cotacachi
parc Cotacachi
parc Cotacachi
parc Cotacachi – orchis Dracula
parc Cotacachi
parc Cotacachi – lamas
L’ascension du volcan Fuya Fuya nous a amenés à 4260 m, avec une belle vue sur le lac Caricocha, mais pas de vue sur les hauts volcans pourtant assez proches.
montée vers le volcan Fuya Fuya
Sommet du volcan Fuya Fuya 4260m
Sommet du volcan Fuya Fuya 4260m
lac Caricocha
lac Caricocha
lac Caricocha
Région de Quito
La montée du volcan Guagua Pichincha à 4790 m se passe en partie dans les nuages. Le fond du cratère est actif. Le volcan domine la ville de Quito et est considéré comme dangereux.
montée au volcan Guagua Pichincha
Volcan Guagua Pichincha – bord du cratère
volcan Guagua Pichincha – bord du cratère
sommet du volcan Guagua Pichincha
Caracara caronculé
Caracara caronculé
Au sud de Quito
Les Illinizas sont constitués de deux sommets accessibles en technique alpine. Nous nous sommes arrêtés au refuge à 4750 m, entouré de nuages épais qui empêchaient de voir ces sommets. Un renard des Andes ou loup de Magellan, peu farouche, nous tenait compagnie.
montée aux Illinizas
les Illinizas
refuge des Illinizas – 4750m
Renard des Andes
Renard des Andes
montée aux Illinizas
plateau central des Andes
La route, menant à la lagune Quilotoa, traverse de beaux paysages andins à près de 3900 m avec des parcelles cultivées, des troupeaux de moutons et des canyons profonds. Le lac de cratère se présente à nous avec ses eaux d’un bleu turquoise intense. C’est un plaisir de descendre de 500 m pour se trouver au bord du lac.
paysages andins vers Quilotoa à 3900 m
canyon vers Zumbahua
lac du cratère du Quilotoa
lac du cratère du Quilotoa
lac du cratère du Quilotoa
lac du cratère du Quilotoa
lac du cratère du Quilotoa
Le Chimorazo, plus haut sommet de l’Equateur, culmine à 6260 m. Des éclaircies nous permettaient de voir ce volcan de près. Nous sommes montés au pied des aiguilles Whymper à 5200 m dans le brouillard. C’est étonnant de ne rencontrer de la neige qu’à cette altitude.
plateau sous le Chimborazo vers 4300 m
Chimborazo 6268 m
sur les pentes du Chimborazo à 4900 m
sous les aiguilles Wymper à 5200 m
sur les pentes du Chimborazo à 5180 m
stèles des victimes tombées lors de l’ascension du Chimborazo
refuge Wymper
Chimborazo – vigogne
Chimborazo – vigogne
Le Cotopaxi, à 5900 m, est le plus haut volcan actif du monde. Il s’est d’ailleurs manifesté quelques jours avant notre venue, rendant l’accès au refuge José-Rivas impossible. Cela nous a permis d’effectuer une belle rando sur les plateaux entourant le volcan.
C’étaient les premiers jours avec du beau temps avec des vues dégagées.
Un trek dans les Andes, la visite de quelques villes et un tour dans les Galapagos étaient le but d’un séjour en Equateur organisé par Allibert en octobre/novembre 2022.
Les villes principales se trouvent sur les hauts plateaux entre 2500 et 3000 m d’altitude, encadrés par des volcans de chaque côté, du nord au sud. De nombreux volcans sont actifs par moment et culminent entre 5000 et 6200 m.
Commençons par Quito qui est la capitale et aussi une belle ville de l’époque coloniale. Les traces des civilisations préhispaniques ont été effacées. Les Incas ont occupé cette région moins d’un siècle avant l’arrivée des Espagnols.
La ville ancienne, bien conservée, est d’architecture baroque.
Quito
basilique de Quito
Quito – grande Place et le palais présidentiel
Quito – grande Place
Quito
Quito – rue Sucre
Théatre de Quito
Quito colonial – rue Garcia Moreno
Quito – ancien évêché
Quito – manifestation féministe devant le palais présidentiel
Quito – relève de la garde
Quito – relève de la garde
Quito – relève de la garde
On trouve beaucoup d’églises baroques richement décorées, notamment celle des Jésuites dont l’intérieur est couvert de feuilles d’or. La grande basilique du Voeu National, de style néogothique, date d’environ un siècle.
Quito – place St François
Quito – église San Francisco
Quito – église des jésuites
Quito – église des jésuites
cathédrale de Quito
basilique de Quito
basilique de Quito – condors en gargouille
Puis nous allons vers le nord en traversant la ligne de l’équateur pour aller à Otovalo et sa région, c’est une ville très colorée à majorité amérindienne.
Caymbe – Ligne de l’Equateur
marché artisanal d’Otovalo
marché artisanal d’Otovalo
marché artisanal d’Otovalo
marché artisanal d’Otovalo
marché d’animaux d’Otovalo
Otovalo – église san Luis
Peguche
Peguche – Atelier de tissage espagnol utilisant des esclaves indiens en 1712
Cascade de Peguche
Cotacachi – boutiques de cuir
lac San Pablo vers Otavalo
San Pablo del Lago – paysages des Andes
San Pablo del Lago – route pavée comme au temps des incas
San Pablo del Lago – paysanne améridienne
San Pablo del Lago – paysannes améridiennes
Au sud de Quito, la ville de Banos se trouve sous la menace du volcan Tungurahua, avec une activité pouvant être violente et imprévisible. Un tableau dans la basilique de Banos décrit une forte éruption survenue en 1797.
Plus à l’ouest, en se dirigeant vers la lagune Quilotoa, on passe par des champs cultivés à 3900 m.
volcan Tungurahua au dessus de Banos
basilique de Banos – éruption du Tungurahua en 1886
basolique de Banos datant de 1923
basilique de Banos datant de 1923
cloître vers la basilique de Banos
Banos – prêtre bénissant des cyclistes
thermes de Banos
Banos – travail de l’ivoire végétal
Banos – route des cascades
paysages andins vers Quilotoa à 3900 m
paysages andins vers Quilotoa à 3900 m
cantonière amérindienne à Quilotoa
La deuxième partie du voyage nous amenait aux îles Galapagos situées à plus de 1000 km à l’ouest de l’Equateur. Nous nous sommes arrêtés à Santa Cruz et San Cristobal.
Les paysages sont beaux sur Santa Cruz, mais les déplacements terrestres restent très limités pour préserver la nature sauvage, faune et flore.
La ville principale, Puerto Ayora, concentre toute l’activité touristique.
Santa Cruz – playa de los Alemanes
Santa Cruz – Tortuga Bay
Santa Cruz – Tortuga Bay
Puerte Ayora – marché aux poissons
Puerte Ayora – marché aux poissons
Puerte Ayora – rue principale
Santa Cruz – Tunnel sous la lave
Il est amusant de voir des églises d’origine protestante, Témoins de Jéhovah et Adventistes du 7e jour, faire du prosélytisme dans les Galapagos alors qu’elles ont du mal avec la théorie de l’évolution. Pourtant c’est là que Darwin a commencé à élaborer cette théorie.
Charles Darwin
Puerte Ayora
Puerte Ayora – église adventiste du 7e jour – musée
Sur San Cristobal les déplacements à pied restent aussi limités à 2 km du port, Puerto Baquerizo Moreno. Ce sont les otaries qui viennent nous voir. Le tour de l’île en bateau permet de descendre sur d’autres sites inaccessibles autrement.
Cette édition 2022 poursuit le mouvement entamé l’année dernière avec moins de magie, moins d’animations spectaculaires, moins de sites. L’accent a été mis sur l’écoresponsabilité. Continuer la lecture de Lyon – Fêtes des Lumières 2022→
La côte comprend de nombreuses îles certaines assez grandes, souvent connues par leur distillerie de whisky. Les îlots plus isolés, non peuplés, abritent aussi des colonies d’oiseaux marins.
Lunga est un lieu de prédilection pour observer, photographier Macareux, Pingouins torda, Guillemots de Troîl…
On rencontre régulièrement des loutres sur l’île de Mull et bien sûr des moutons. Continuer la lecture de Faune de la côte ouest de l’Ecosse→
Les petites iles et les falaises de la côte est abritent des colonies d’oiseaux marins qui viennent se reproduire à terre au printemps. Ils restent en mer le reste de l’année. La colonie des fous de Bassans de l’lle de Bass Rock peut contenir jusqu’à 70 000 couples ce qui en fait la plus grande du monde. Continuer la lecture de Faune de la côte est de l’Ecosse→