Quelques bonnes surprises dans un ensemble très moyen et réduit.
Les restrictions budgétaires sévères ( 2,1 million € en 2025 contre 2,8 en 2024 ) expliquent aussi la réduction du nombre d’oeuvres : la place Bellecour, pourtant emblématique, reste éteinte, de même pour les Célestins.
Mon palmarès :
Place des Terreaux, ode décalée et pleine d’humour, dédiée à la gastronomie lyonnaise
Cathédrale Saint Jean, déconstruite en monochrome
Quai de Saône avec des tableaux poétiques
Place Antonin Poncet avec une féérie de lumières